L’affaire Bourdin

Par souci de précision et d’information, nous signalons à nos lecteurs que nous avons sollicité M. Bourdin depuis de nombreux mois pour qu’il reçoive François Asselineau..

A la mi-septembre dernier, l’un des membres de notre équipe de communication l’a même rencontré personnellement dans les bureaux de RMC pour lui demander de recevoir le président de l’UPR. Pour être précis, c’était le jour même où François Asselineau était reçu par Nicolas Doze sur BFM TV (car les studios des deux sociétés sont situés dans le même immeuble, à quelques étages d’intervalle).

M. Bourdin ne peut donc en aucun cas prétendre ne pas savoir qui sont François Asselineau et l’UPR. Et comme c’est un journaliste compétent et intelligent, il est certain qu’il s’est renseigné précisément sur les analyses et le programme présidentiel de François Asselineau.

Par ailleurs, Jean-Jacques Bourdin a donné une interview au journal 20 MINUTES pas plus tard qu’avant-hier 24 février, interview dans laquelle il affirme notamment :

« Je pratique un journalisme décomplexé. J’en ai assez de ce journalisme fade qui considère que l’on ne peut pas dire ce que l’on pense, de ce courant de pensée qui estime antidémocratique le fait de soutenir que tous les candidats puissent obtenir les signatures nécessaires. »
http://www.20minutes.fr/medias/885899-jean-jacques-bourdin-je-pratique-journalisme-decomplexe

M. Bourdin est donc désormais au pied du mur.

=> Soit il reçoit François Asselineau au cours de la semaine qui s’ouvre et il agira, quoi qu’avec un retard extrêmement dommageable pour la recherche de nos 500 parrainages, conformément à l’image qu’il se donne et conformément aux promesses qu’il fait.

=> Soit il persiste à refuser de recevoir François Asselineau. Auquel cas nous saurons à quoi nous en tenir sur les pressions d’une nature exceptionnelle qu’il doit subir.

En toute hypothèse, cette affaire illustre de façon honteuse la dictature camouflée dans laquelle est tombée la France.

Car enfin ! Il est absolument anormal, et même scandaleux, que des centaines de Français soient contraints de supplier un journaliste politique de faire son devoir minimum d’information !

Qui donc est M. Bourdin pour avoir un tel pouvoir ?
Qui donc sont ses commanditaires pour usurper le libre accès à la parole ?
De quel article de loi, de quel principe constitutionnel peuvent-ils se prévaloir pour s’opposer ainsi à des centaines et des centaines d’auditeurs, des dizaines de milliers de sympathisants ?

En vertu de quelle éthique professionnelle ont-ils décidé qu’ils donneraient la parole à des candidats fantaisistes mais qu’ils la refuseraient pour toujours à l’un des plus hauts fonctionnaires actuels de la République ?

En vertu de quelle morale ont-ils décidé qu’ils nieraient jusqu’à l’existence même d’un homme dont les compétences sont telles qu’il fut nommé délégué général à l’Intelligence économique à Bercy avant d’être mis au placard pour avoir annoncé, avec 5 ans d’avance, le désastre dans lequle nous allons nous enfoncer ?

Tout cela prouve :

==> que François Asselineau pose un véritable problème aux forces qui cadenassent la démocratie en France et en Europe.

==> et a contrario que les candidats qui sont constamment invités dans les médias, notamment par M. Bourdin, sont bien des agents du système, y compris et surtout ceux qui sont présentés comme des opposants.

La meilleure réponse à apporter à cette affaire Bourdin et à ce qu’elle révèle, c’est d’adhérer, toujours plus nombreux, à l’UPR, l’Union du peuple pour rétablir la démocratie.

Bureau National de l’UPR